Après avoir introduit la clé dans le cadenas, il faut la pousser latéralement afin de pouvoir libérer la partie qui permet d’ouvrir le cadenas. Pour la fermeture, enlever la clé et réintroduire la partie libérée et pousser.

Certains anciens cadenas dit « Tanast » en fer et plaquage de cuivre ciselé à décor persan, ont  une clé représentant une morphologie humaine.

Elle désigne l'exemple le plus populaire d'une catégorie de bijoux berbères sahariens fabriqués particulièrement par les Touaregs, un peuple berbère du Sahara. Il s’agit, pour la plupart d’entre eux, d’un pendentif à silhouette variée, apparentée soit à une croix (tanaghilt), soit à une forme de plaque ou de bouclier (talhakim).

L’usage actuel de la tanaghilt et de la talhakim est restreint à quelques tribus Touaregs : les Kel Aïr, les Kel Geress ; ainsi qu'à des ethnies non-Berbères les ayant adoptées sous influence touarègue, vivant dans la région d’Agadez et les plaines au sud de l’Ihrazer, comme les Peuls, les Hawsa et les Goberfdawa.

En tant qu’ornements, ils sont suspendus au cou ou, notamment dans le cas des tanaghilts, fixées au voile des femmes, sur le front, mais renversé, c’est-à-dire avec la pointe vers le haut.

Mode de formation

Quand un éclair interagit avec le sol, il libère une énergie estimée à un milliard de joules, et la température des matériaux peut localement et instantanément monter à plusieurs milliers de degrés Celsius. Cette énergie provoque la fonte voire la vaporisation des matériaux siliceux le long du trajet de la foudre à l'intérieur du substrat, parfois sur plusieurs mètres de long, et sur 5 à 20 mm de diamètre en général. Le verre naturel ainsi formé n'est pas assez pur pour être transparent.

Cette chemise est un des éléments qui constitue la tenue traditionnelle des gardians de la manade qui conduisent le taureau vers les arènes. La coupe de cette chemise correspond aux formes mises au point au début du XXème siècle par le Marquis de Baroncelli lors de la création de la Nacioun Gardiano pour fixer le costume traditionnel des gardians. En 2008, une Charte sur la tenue vestimentaire des gardians est établie par la Confrérie des Gardians de Saint Georges et la Nacioun Gardiano, et publiée de manière officielle par le Parc naturel régional de Camargue. La Charte recommande l’usage d’une chemise à manches longues et de couleurs vives. La diversité des couleurs est recommandée afin d’éviter toute uniformisation. Les manches longues seront baissées et attachées aux poignets pendant toutes les cérémonies.

La tenue du gardian allie praticité et esthétique, elle permet une unité permettant de reconnaitre facilement ce corps de métier.

Ce chapeau est un des éléments qui constitue la tenue traditionnelle des gardians de la manade qui conduisent le taureau vers les arènes. Plus résistant que les chapeaux de paille, le chapeau de feutre avec ses bords larges permet de les protéger du soleil et de la pluie lorsqu’il se trouvent dans le pré. Le chapeau en feutre est devenu un des éléments obligatoires du costume traditionnel des gardians au début du XXème siècle par le Marquis de Baroncelli lors de la création de la Nacioun Gardiane fixant le costume traditionnel des gardians. La tenue du gardian allie praticité et esthétique, elle permet une unité permettant de reconnaitre facilement ce corps de métier. En 2008, une Charte sur la tenue vestimentaire des gardians est établie par la Confrérie des Gardians de Saint Georges et la Nacioun Gardiano, et publiée de manière officielle par le Parc naturel régional de Camargue. La Charte recommande d’éviter les couleurs trop criardes (rouge, etc…).

La tenue du gardian allie praticité et esthétique, elle permet une unité permettant de reconnaitre facilement ce corps de métier.